jeudi 6 septembre 2012

Allers simples: aventures journalistiques en Post-Soviétie

Mon récit Allers simples: aventures journalistiques en Post-Soviétie (éditions La Peuplade) est en librairie partout au Québec et au Canada depuis le 28 août 2012. Vous pouvez également le commander en ligne sur AmazonRue des libraires, Renaud-Bray, Archambault, et bien d'autres.

En EuropeAllers simples est sur les tablettes de la Librairie du Québec à Paris depuis le début octobre. Il est aussi disponible sur commande dans les librairies de France, Belgique et Suisse, ou sur Amazon.

Allers simples est également en version électronique (EPub ou PDF) depuis la fin novembre sur différents sites, dont Rue des libraires . Pour la liste complète voir le blogue de La Peuplade.

Il est également possible de lire les vingt premières pages d'Allers simples en PDF sur le site de Renaud-Bray.



Quatrième de couverture

À coups d’allers simples, le journaliste québécois Frédérick Lavoie parcourt le monde et le questionne. Le reporter – voyageur curieux et insatiable – nous emmène sur les routes de la « Post-Soviétie », ensemble géopolitique balloté entre Europe et Asie, uni par un passé commun et un avenir incertain. Entre les espoirs révolutionnaires de jeunes Biélorusses dans une prison de Minsk, le discours haineux de néo-nazis à Vladivostok, les malheurs d’une pauvre babouchka ouzbèke dans la dictature turkmène et les rêves de grandeur d’une chef de village tchétchène, il nous livre quelques moments de la vie des ex-Soviétiques qu’il a côtoyés lors de ses reportages aux quatre coins de l’empire déchu. Allers simples dévoile des réalités d’habitude inaccessibles.


Né en 1983 à Chicoutimi, Frédérick Lavoie est journaliste indépendant, basé à Moscou depuis 2008. Il collabore régulièrement avec La Presse, Radio-Canada et des médias français, belges et suisses Allers simples est son premier livre.

Les lancements

Critiques

«Avec sobriété, assumant sans jamais fléchir le rôle du grand témoin plus que celui du touriste, Lavoie revisite dans Allers simples ses carnets de notes et ses anciens reportages pour nous donner à voir et à comprendre. Un récit parfois minutieux de certains événements qui ont marqué cette région du monde depuis quatre ou cinq ans (interventions militaires, conflits ethniques), rythmé de rencontres et de tentatives de comprendre et d’expliquer aux profanes ce qui se cache derrière les apparences. " La Russie,écrit-il, est une tragédie millénaire qui s’entretient elle-même par son orgueil mal placé, son intransigeance et les passions qui en découlent. " Mais qui dit orgueil, passion et jusqu’au-boutisme dit aussi parfois surprise, générosité, exubérance et personnages hauts en couleur. C’est l’autre côté d’une médaille que le voyage hors des sentiers battus permet d’apercevoir.»
                 – Christian Desmeules, Le Devoir, 8 septembre 2012 (Dans «Montages russes»)

« C’est une histoire qui est racontée ici, la petite histoire d’un gars de Chicoutimi parti se frotter à la grande, à hauteur d’homme. De son arrestation en Biélorussie, pour avoir pris part à une manifestation contestant la réélection sans doute truquée d’Aleksander Loukachenko, en 2006 – il passera 15 jours dans les geôles de l’Akrestina – à ses reportages sur le Kazakhstan, le Turkménistan et autres pays en «…stan», tout passe par le regard d’un témoin sans préjugés, qui regarde les gens dans les yeux et a compris que le meilleur passeport pour une certaine vérité humaine est la discussion, le repas partagé, la soirée amicale entouré de «spoutniki», ou compagnons de route.»             
               – Tristan Malavoy-Racine, Voir, 20 septembre 2012 (Dans «Tintin chez les Post-Soviets»)

«C'est cet intérêt pour les gens derrière l'actualité qui fait la force du livre. À cheval entre le carnet de voyage et le grand reportage, Frédérick Lavoie distille dans ses différents récits une dose de subjectivité impossible dans un article. Il y présente des éléments de vie quotidienne et raconte les nombreuses files d'attente (imposées par la bureaucratie, par la nonchalance des systèmes de transports, etc.), et les improbables rencontres qui ne peuvent se produire qu'en bourlinguant sac à dos à l'épaule et dans des taxis collectifs. Allers simples donnera le goût de la bougeotte à ses lecteurs ainsi que l'impression de mieux comprendre ces sociétés complexes et lointaines.»
              – Daniel Dubrûle, La Presse, 14 septembre 2012 (Dans «Voyages post-soviétiques»)


« Le jeune journaliste indépendant d’origine saguenéenne Frédérick Lavoie parcourt la planète, une plume à la main. Son regard affûté transparaît dans ce captivant périple parmi les anciennes républiques de l’URSS. Vingt ans après le morcellement de l’empire, les ex-Soviétiques rencontrés en Abkhazie, au Kazakhstan, au Kirghizstan, en Ouzbékistan, au Turkménistan ou en Tchétchénie partagent tous des espoirs et des malheurs communs. On rencontre de jeunes révolutionnaires biélorusses et des néonazis de Vladivostok, on grimpe dans des autobus déglingués, on côtoie la guerre et la censure, on boit de la vodka infecte. Ce recueil sensible, maîtrisé et humain ballotte son lecteur à l’autre bout du monde. Et on adore l’expérience... »
               – Revue Le Libraire, numéro 72, septembre-octobre 2012. (La revue en PDF ici)

«En tant que lecteur, c'est le genre de journalisme dont on a besoin.»                  
              – Catherine Perrin, Médium Large/Radio-Canada, 4 septembre 2012. (L'entretien complet ici)

« Frédérick Lavoie est un aventurier moderne qui montre la face cachée du monde. Un récit fascinant, vivant et dérangeant. J’ai lu cela comme un roman d’aventures. L’auteur se trouve une petite place dans des taxis, les trains pour de longues excursions dans des pays abandonnés à des illuminés, faisant face à des policiers qui ne répondent à aucune loi. Une façon nouvelle d’échapper aux formatages des médias pour nous montrer des gens qui vivent, souffrent, rêvent, se débattent pour un avenir meilleur même quand tous les horizons sont cousus de barbelés. Des récits touchants, souvent émouvants et fascinants. Un style direct, alerte, parsemé de petites réflexions sur la vie, la liberté, le goût du risque qui le fait courir au-devant de tous les dangers. J’en suis sorti secoué et un peu troublé. Frédérick Lavoie m’a fait comprendre que je connais bien mal cette planète même si j’ai toujours le nez dans les journaux. » 
              – Yvon Paré, Le Progrès-Dimanche, 9 septembre 2012 (dans «Frédérick Lavoie, l'aventurier des temps modernes»)

Entrevue dans la revue Le Libraire, numéro 73, novembre-décembre 2012, à lire ici